Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 00:12

Le 16 février marque, en République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée du Nord), l'anniversaire de la naissance du Dirigeant Kim Jong-il, célébré comme la Fête de l'Etoile brillante. Dans la conception nord-coréenne du pouvoir, l'unité monolithique entre le peuple, le Parti et le dirigeant implique que ce dernier donne les orientations à suivre dans tous les domaines de la vie sociale. Parmi les écrits du Dirigeant Kim Jong-il, les traités dans le domaine artistique occupent une place importante. Alors que l'architecture et l'urbanisme jouent un rôle éminent en tant que disciplines sollicitées pour "l'édification d'un pays puissant et prospère", selon le mot d'ordre lancé par le Président Kim Jong-il, nous reproduisons ci-après des extraits De l'art architectural par Kim Jong-il, écrits datés du 21 mai 1991 et revenant notamment sur les éléments structurants de l'urbanisme de Pyongyang, capitale de la RPDC, à partir de quelques éléments clés : la place éminente des monuments ; le caractère national de l'architecture coréenne ; la composition artistique et la valeur symbolique de l'urbanisme.

 

"Qui dit architecture socialiste et communiste dit architecture révolutionnaire de la classe ouvrière, laquelle a pour mission fondamentale de réaliser les aspirations et les besoins des masses populaires, maîtres de la nature et de la société (...).

 

Un grand monument inspirera respect et solennité en fonction de l'aménagement de l'espace environnant (...). Citons en exemple l'aménagement des abords du Monument aux Idées du Juche, où l'on a veillé soigneusement à appliquer la symétrie : construction de deux tours d'habitation derrière le monument, de deux pavillons sur les côtés et installation de deux jets d'eau au beau milieu du fleuve Taedong, en face. Cela ajoute au grandiose et à la solennité du monument (...).

 

Le centre de Pyongyang fournit un modèle d'emplacement idéal pour une statue du leader (...). On a érigé la statue du leader sur la colline Mansu [NB : depuis avril 2012, deux statues sont érigées sur la colline Mansu, à l'effigie du Président Kim Il-sung et du Dirigeant Kim Jong-il, photo ci-dessous], la plus élevée du centre de la ville, et construit aux alentours un grand monument évoquant le trajet glorieux de la révolution coréenne, ainsi que le Musée de la révolution coréenne (...).

 

colline_mansu_hill_Pyongyang.jpg

 

Pour encadrer la statue de notre Leader et la rendre visible partout du centre de la ville, on a démoli toutes les maisons de l'ancienne rue Somun, située entre les collines Mansu et Namsan, où l'on a aménagé en échange un grand parc à jets d'eau et des plates-bandes, et l'on a construit le Théâtre d'art Mansudae, établissement moderne, en harmonie avec le tableau. En face de la colline Mansu, sur l'autre rive du Taedong, on a tracé dans le secteur de Munsu, sur le prolongement de l'axe principal du Monument Mansudae, une large avenue bordée du Grand Théâtre de Pyongyang-Est, du Palais central de la Jeunesse et d'immeubles d'habitation (...).

 

Le recours aux formes nationales s'impose tout particulièrement dans les pays confrontés à des tâches de reconstruction comme c'était le cas pour nous (...) à Pyongyang notamment, on a vu s'ériger sur les emplacements majeurs de l'ensemble urbanistique le Palais de la culture du peuple (photo ci-dessous), le Grand Théâtre de Pyongyang et le restaurant Okryu, tous de style coréen, qui exhalent un véritable parfum national le long du fleuve Taedong et de la rivière Pothong ; de même, il a été construit le Palais des études du peuple, grandiose édifice de style coréen, sur la colline de Namsan, centre géométrique du triangle dont cet édifice forme le sommet, emplacement central du plan de la ville, où la couleur nationale s'est renforcée (...).

 

palais-de-la-culture-du-peuple_pyongyang.jpg

 

L'architecture fournit des images musicales aussi bien que des images picturales, sculpturales et poétiques.

 

Les immeubles modernes se serrant dans le vaste espace de la ville de Pyongyang, axé sur la statue du Président Kim Il-sung érigée sur la colline Mansu, donnent l'impression d'un tableau émouvant où l'on voit tout le peuple coréen acclamer son Leader (...). La façade du Palais des études du peuple situé sur l'axe central de Pyongyang évoque un tableau représentant une poule heureuse ayant pris ses petits sous ses ailes, par une douce journée de printemps, sur une pelouse ; la partie de ce même palais située du côté du Parc aux jets d'eau Mansudae fait penser à une composition sculpturale illustrant l'esprit révolutionnaire de notre peuple lancé à toute vitesse vers le communisme, portant bien haut la bannière du Juche, bannière du socialisme, inébranlable devant les défis".

 

Source : Kim Jong-il, OEuvres choisies, volume 11 (janvier-juillet 1991)., éditions en langues étrangères, Pyongyang, RPDC, 2003. "De l'art architectural", p. 106-237 (extraits).

Partager cet article
Repost0
24 décembre 2012 1 24 /12 /décembre /2012 17:12

Le parc folklorique de Pyongyang, situé dans la région du Mont Taesong, propose un parcours pédagogique retraçant 5 000 ans d'histoire de la Corée, jusqu'à la période contemporaine. S'étendant sur une superficie de 200 hectares, il comprend notamment des reproductions des monuments historiques du pays et offre un aperçu des traditions culturelles coréennes - notamment dans les domaines de l'architectures, des sports et de jeux. Selon l'agence KCNA de la République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée du Nord), l'aménagement du parc a commencé suivant les instructions du dirigeant Kim Jong-il, et Kim Jong-un, Premier Secrétaire du Parti du travail de Corée, a visité le site à deux reprises au cours de l'année écoulée, en janvier et septembre 2012.

Pyongyang_Folklore_Park_6.jpg

 

Pyongyang_Folklore_Park_4.jpg

 Pyongyang_Folklore_Park_2.jpg

 

 

Pyongyang_Folklore_Park_1.jpg

 

Pyongyang_Folklore_Park_7.jpg

 

Parc-folklorique_Pyongyang_3_sous-la-neige.jpg

 

Pyongyang_Folklore_Park_5.jpg

 

Pyongyang_Folklore_Park_3.jpg

 

Parc-folklorique_Pyongyang_4_monument-aux-trois-chartes.jpg

 

Pyongyang_Folklore_Park_8.jpg

 

Parc-folklorique_Pyongyang.jpg

 

Source : KCNA (six dépêches, datées du 3 au 10 décembre 2012, dont photos)

Partager cet article
Repost0
15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 23:07

Le 22 juillet 1982, l'Institut de recherche architecturale Paektusan était fondé à Pyongyang, sur l'initiative du dirigeant Kim Jong-il. Trente ans plus tard, il s'est affirmé comme le principal centre de création architecturale en République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée du Nord). Lors de sa visite en Corée en avril 2012, la délégation de l'AAFC a rencontré Sin Dong-ho, directeur du département des relations extérieures de l'Institut, ainsi que deux architectes formés en France, Pak Chol et Pak Chol-min, qui ont expliqué l'histoire et l'organisation de l'Institut Paektusan. Occupant un vaste espace dans la capitale Pyongyang, abritant un hall d'exposition ainsi qu'une salle de ping-pong au cinquième étage, l'Institut est aujourd'hui très impliqué dans les grands projets d'aménagement urbain en RPD de Corée, au moment où un important effort est consacré à la construction et à l'architecture.

 

Coree2012-058.jpg

En l'espace de trente ans, les architectes et urbanistes de l'Institut Paektusan ont dessiné les plans de centaines de constructions monumentales, non seulement dans la péninsule coréenne mais également à l'étranger (en Angola, en Chine, en Egypte, en Ouganda, en Namibie...). Comme dans l'ensemble de la RPD de Corée, le traitement des questions architecturales et techniques est étroitement lié, comme en témoigne le regroupement au sein de l'Institut Paektusan d'un centre de design, d'une unité dédiée aux matériaux de construction et de deux centres spécialisés, respectivement, dans l'environnement architectural et les questions de climatisation et de ventilation.

 

L'histoire de l'Institut retrace celle de l'architecture en Corée du Nord. Alors que la guerre de Corée faisait encore rage, le Président Kim Il-sung avait appelé les architectes, dès l'année 1951, à définir les nouveaux plans de la ville de Pyongyang qui, pendant les trois ans du conflit, a reçu davantage de bombes (428.000) qu'elle ne comptait alors d'habitants (400.000), n'étant plus qu'un champ de ruines lors de l'armistice en 1953. Dans cette perspective, dès la période de la guerre des étudiants avaient été envoyés à l'étranger pour se former.

 

L'Institut Paektusan correspond non seulement à une agence d'architecture au sens occidental, mais également à un lieu d'échanges dans les domaines scientifique et technologique, ayant été présent à des conférences internationales, notamment en Autriche en 2010 et à Nuremberg en 2011. Il participe aux concours pour la définition des grands projets d'urbanisme en RPD de Corée, l'accent étant aussi porté actuellement sur les infrastructures de transport avec l'agrandissement en cours de l'aéroport international de Pyongyang, ainsi que les projets de rénovation de la gare de Pyongyang, construite en 1957, et d'extension du réseau métropolitain.

 

Après sa visite, la délégation de l'AAFC a fait parvenir de la documentation sur l'architecture des aéroports à l'Institut Paektusan. Elle a également entrepris des démarches pour renforcer les coopérations bilatérales avec les écoles d'architecture en France.

 

Coree2012-066.jpg

Photos AAFC.

Partager cet article
Repost0
14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 21:56
Dans l'objectif de bâtir "un pays puissant et prospère" à l'horizon 2012, année du centenaire de la naissance du Président Kim Il-sung, fondateur de la République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée du Nord), les autorités nord-coréennes ont mis l'accent sur la construction - un projet phare étant la construction de 100.000 nouveaux logements à Pyongyang, capitale de la RPD de Corée, d'ici à 2012. La priorité ainsi donnée à la construction et à l'urbanisme se décline par un foisonnement de projets d'architecture, dont les meilleurs ont été mis à l'honneur lors d'un festival qui s'est tenu du 3 au 6 mai 2011. Cette manifestation s'était ouverte par la réunion du 6ème symposium d'esthétique en architecture.
symposium architecture dpr korea pyongyang
 
Le 6ème symposium d’esthétique en architecture de la République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée du Nord) s’est ouvert le 3 mai 2011 à Pyongyang, en présence de Kim Ki-nam, secrétaire du Comité central du Parti du travail de Corée, Jon Ha-chol, vice-Premier ministre, et de centaines d’architectes, ingénieurs, urbanistes, professeurs, chercheurs et techniciens venus de l’ensemble de la RPD de Corée – ayant permis un large échange de vues sur l’actualité des théories et des réalisations en architecture, identifiée comme l’une des priorités en vue dans l’objectif des autorités nord-coréennes de bâtir « un pays puissant et prospère » à l’horizon 2012.
 
Ces travaux ouvraient le 11ème festival d’architecture qui, du 3 au 6 mai, a montré les meilleurs projets architecturaux : au total, une sélection de 200 travaux, 230 articles et 30 programmes ont été présentés dans les domaines de l’urbanisme, du logement ou encore de la construction d’industries légères, offrant un aperçu des projets de restructuration urbaine envisagés dans la capitale et les autres villes de la RPD de Corée, une attention particulière étant porté à l’aménagement d’espaces de promenades (parcs, fontaines) dans le tissu urbain.

 

Fin février, une série de 17 ouvrages sur la construction a été publiée par la Maison des publications industrielles de la RPDC, comportant 6 volumes sur l’ingénierie architecturale, 2 livres sur l’ingénierie hydraulique, 4 ouvrages sur l’architecture des transports (ponts, routes, chemins de fer…), 3 volumes sur les matériaux de construction et 2 livres sur les installations techniques.

 

Parallèlement aux travaux de restauration du patrimoine historique, de nouveaux établissements culturels ont été créés ou rénovés récemment : en novembre 2010, Kim Jong-il, président de la Commission de la défense nationale, a ainsi visité des chantiers de construction et l’Université de danse de Pyongyang, rénovée.

 

festival_architecture_coree_du_nord_1.jpg
 
festival_architecture_coree_du_nord_2.jpg
 
festival_architecture_coree_du_nord_3.jpg
 
festival_architecture_coree_du_nord_4.jpg
 
festival_architecture_coree_du_nord_5.jpg
 
Source : KCNA
Partager cet article
Repost0
24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 23:01

Les autorités de République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée du Nord) ont fixé en 2012, année du centenaire de la naissance du Président Kim Il-sung, fondateur de la RPDC, l'objectif de construire un pays puissant et prospère. Dans le domaine économique et culturel, ce but se décline par le renforcement des atouts du pays dans le secteur de l'architecture et de la construction. L'AAFC donne quelques points de repère.

Pendant la guerre de Corée (1950-1953), alors même que le conflit était encore loin d'être terminé, le Président Kim Il-sung de République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée du Nord) avait défini les grandes lignes du plan de reconstruction de la capitale dans l'après-guerre. De fait, alors qu'en 1953 elle était presque entièrement détruite par les bombardements des forces des Nations-Unies sous commandement américain, Pyongyang présente aujourd'hui un plan géométrique ordonné, comportant un grand nombre d'espaces verts, qui traduit une forte volonté architecturale et urbanistique. Si le visiteur occidental est impressionné par des dimensions selon lui excessives, au regard des critères de l'architecture occidentale (qui définit, par exemple, la taille d'une place publique au regard de la population susceptible de fréquenter cette place), il s'agit d'un choix conscient des Nord-Coréens : ceux-ci ont voulu se projeter à long terme, en envisageant le développement futur de la ville. Par exemple, les dimensions des axes routiers et des rues ont été adaptées à des prévisions d'augmentation du trafic automobile, aujourd'hui en plein essor dans la capitale.

De longue date, l'architecture a constitué un point fort de la Corée : ainsi, le système de chauffage par le sol, ou ondol, reste la norme dans la construction contemporaine. Les communautés nord-coréennes expatriées ont bâti de nombreuses villes, à l'instar de Vladivostock, dans l'extrême-orient russe. La RPD de Corée coopère dans le domaine de la construction avec des pays proches politiquement - comme le Zimbabwe, l'Iran ou encore la Namibie, dont le palais présidentiel inauguré en 2008 est l'oeuvre des Nord-Coréens. Dans un domaine plus spécifique, la RPDC s'est spécialisée dans la construction de statues géantes, pour lesquelles elle compte plusieurs dizaines de pays clients sur tous les continents.

Ce choix de développement économique n'est pas propre au Nord de la péninsule : dès les années 1960, la Corée du Sud s'est également engagée dans des opérations de construction à l'étranger, notamment au Proche-Orient, qui lui ont procuré les devises nécessaires à la modernisation de l'économie.

L'effort porté par le gouvernement nord-coréen au secteur de l'architecture et de la construction, comme base pour la modernisation du pays, a impliqué des investissements spécifiques, ainsi que des coopérations bilatérales. La conception et le dessin assistés par ordinateur (CAO et DAO) ont ainsi été développés au Centre informatique de Pyongyang.

Les agences d'architecture sont organisées par ministère et/ou par ville : ce sont des structures publiques, dont la taille importante dépasse nettement celle de la plupart des cabinets privés d'Europe occidentale et d'Amérique du Nord. Les fonctions de recherche et de formation peuvent être intégrées aux opérations de création et de construction proprement dites : une des agences les plus connues, l'Institut de recherche architecturale Paektusan (IRAP, du nom du mont Paektu, point culminant de la péninsule coréenne) a été fondé le 22 juillet 1982 (photo et source : La Corée d'aujourd'hui, article reproduit sur le site de l'association Korea-is-one). L'IRAP abrite trois laboratoires de recherche. Ses équipes d'architectes et d'ingénieurs sont à l'origine de plusieurs des bâtiments modernes de Pyongyang, dont l'hôtel international Yanggakdo, le monument à la fondation du Parti du travail de Corée ou encore le Centre de recherche informatique de Corée.

Afin de conforter son excellence dans le domaine architectural, le gouvernement nord-coréen a formé, à partir de 2002, des architectes dans plusieurs pays européens (Allemagne, Autriche, Italie, France). De fait, il s'agit d'un domaine où des coopérations bilatérales avec les pays ocidentaux peuvent être mises en place : l'hôtel Yanggakdo a ainsi été construit, notamment, avec des capitaux français, et les travaux ont repris depuis le printemps 2008 pour l'hôtel Ryugyong qui, une fois achevé, serait le plus grand hôtel de tourisme au monde.

Cependant, à l'instar des pays européens à la même époque, à partir des années 1950, la Corée du Nord a privilégié les constructions rapides pour reloger l'ensemble de ses habitants et leur fournir des services modernes. Ces bâtiments ayant vieilli, leur modernisation et la prise en compte des nouvelles normes de sécurité et de protection de l'environnement sont au coeur des travaux de réhabilitation engagés au lendemain des années de difficultés économiques de la "dure marche". Il s'agit donc d'un des enjeux majeurs pour atteindre, en 2012, l'objectif de construire un pays puissant et prospère.

Source : AAFC

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 01:08
L'ambition des villes nouvelles appartient-elle au passé ? Non, dans le sud de la capitale sud-coréenne un projet de nouveau quartier résiste encore et toujours à l'uniformisation architecturale... Début décembre 2008, les plans du centre de Gwanggyo viennent d'être rendus publics par le cabinet néerlandais MVRDV.

Les plans du premier projet de développement multifonctionnel d'une ville nouvelle au sud de Séoul ont été rendus publics par le cabinet d'architectes néerlandais MVRDV.


Constituant l'un des deux projets de développement de la capitale sud-coréenne, mené en commun par Daewoo et la municipalité de Gwanggyo, le Centre de Gwanggyo sera formé de bâtiments en forme de collines et proposera 200.000 m2 d'espaces de loisirs, dont un spa haut de trois étages, un multiplex de 7 étages et un bâtiment dédié à la fois aux loisirs et au commerce de détail.

Le projet, mené en coopération avec les architectes coréens du groupe DA et les ingénieurs britanniques de Arup, proposera également 200.000 m2 d'habitations, 48.000 m2 de bureaux et des équipements scolaires.

Chaque étage des bâtiments comportera des terrasses bordées de haies pour former un environnement semblable à celui d'un parc et destiné à s'intégrer au milieu naturel. Par ailleurs, de larges atriums au centre des bâtiments serviront d'entrées pour les unités d'habitation et les bureaux, d'aires de stationnement pour le centre commercial et de halls de musée.

La ville nouvelle abritera jusqu'à 77.000 habitants. Les plans et l'étude faisabilité sont actuellement en cours de réalisation par l'Entreprise d'innovation urbaine des autorités de la province de Gyeonggi, en vue d'un achèvement d'ici 2011. (Source :  site Internet worldleisure)



Partager cet article
Repost0

Recherche

D'où venez-vous?