Le 7 mai 2009, six militants de la branche sud-coréenne de l'Alliance pan-coréenne pour la réunification (APCR) étaient arrêtés en application de la loi dite de "sécurité nationale", cette loi anachronique instaurée en 1948 qui interdit aux Coréens du Sud d'entrer en contact avec leurs compatriotes du Nord sans autorisation, alors que l'APCR a obtenu toutes les autorisations nécessaires. Le 17 juillet, le premier procès de trois des six militants de l'APCR devait s'ouvrir devant la cour du district central de Séoul. Aujourd'hui tous emprisonnés en Corée du Sud, on peut leur écrire aux adresses suivantes :
Lee Kyu-jae (72 ans, président de l'APCR)
No. 97
Seoul Detention Center
P.O. Box 20
Gunpo Post Office
Gyeonggi-do
435-050 South Korea
Lee Kyeong-won (45 ans)
No. 63
Seoul Detention Center
P.O. Box 20
Gunpo Post Office
Gyeonggi-do
435-050 South Korea
Choi Eun-a (37 ans)
No. 221
Seoul Detention Center
P.O. Box 20
Gunpo Post Office
Gyeonggi-do
435-050 South Korea
Yun Ju-hyung (42 ans)
No. 536
Cheongju Detention Center
Mipyeong-dong 148
Heungdeok-gu
Cheongju City
Chungcheongbuk-do
361-754 South Korea
Oh Sun-wan (37 ans)
No. 9
Cheongju Women's Detention Center
P.O. Box 145
Seo-Cheongju Post Office
Heungdeok-gu
Cheongju City
Chungcheongbuk-do
361-708 South Korea
Jang Min-kyeong (39 ans)
No. 8
Cheongju Women's Detention Center
P.O. Box 145
Seo-Cheongju Post Office
Heungdeok-gu
Cheongju City
Chungcheongbuk-do
361-708 South Korea
Il est également possible d'envoyer un courrier électronique, en anglais ou en coréen, aux trois militants détenus à Séoul (Lee Kyu-jae, Lee Kyeong-won et Choi Eun-a), en suivant les instructions figurant sur ce site du ministère sud-coréen de la Justice :
http://seoul.corrections.go.kr/ca/civilinfo/CAINFO0000.jsp?civilcd=CI025
Notez cependant qu'aucun détenu ne pourra vous répondre par courrier électronique. Les échanges par voie postale sont donc préférables.
N'oublions pas
Lee Kyu-jae, Lee Kyeong-won, Choi Eun-a,
Yun Ju-hyung, Oh Sun-wan et Jang Min-kyeong
Exigeons la libération des Six
et l'abolition de la loi de "sécurité nationale"
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